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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/114

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

du bureau des Renseignements, 269-270. — Déclarations que lui fait Cuers au sujet de l’entrevue de Bâle ; il en informe Picquart, 275 et note 2. — Chargé de préparer une nouvelle entrevue, 278.

Foulon (Sébastien), lieutenant-colonel. Commissaire du gouvernement dans le procès Picquart : reçoit le rapport Tavernier, IV, 383 ; ses conclusions, 386.

Fouquier (Henry), publiciste. Proteste dans l’Écho de Paris contre le huis-clos au procès de 1894, I, 371-372.

Fournier (Gabriel), inspecteur général des services administratifs. Apprend de Durlin que Dreyfus a protesté de son innocence au greffe du Dépôt, I, 506, note 2. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894) 562, note 3 ; IV, 452.

Fournier, lieutenant-colonel. Retrouve la minute du commandant Bayle sur l’attribution de l’artillerie lourde aux armées, VI, 271, note 4 ; appendice, 538.

Fournière (Eugène), député. Son interpellation sur la lettre de Picquart à Brisson est ajournée (séance du 12 juillet 1898), IV, 42 et note 1. — Membre du « comité de vigilance » institué en octobre 1898 par les socialistes, 329-330. — Intervient dans le débat qui suit les interpellations Bos et Massabuau (séance du 28 novembre 1898), 401. — Annonce puis retire une interpellation sur le procès Picquart, 409, 412. — Son livre : L’Artifice nationaliste, en réponse à celui de Jules Soury : La Campagne nationaliste, 446, note 1. — Son article : La Course à l’Abîme, dans la Revue socialiste, VI, 429, note 3.

Foursin. Prend part au complot organisé par Déroulède (juillet 1899), V, 257, 261.

France (Anatole), de l’Académie française. Son opinion sur le talent littéraire de Zola, III, 70, note 2. — Signe la pétition en faveur de la Revision, 245. — Ses romans sur l’histoire contemporaine, 249-250. — Cité par Zola comme témoin à son procès, 302. — Sa déposition, 405. — Son attitude lors de la suspension de Zola par le Conseil de l’ordre de la Légion d’Honneur, IV, 127. — Signe la protestation en faveur de Picquart, 390, note 2. — Son discours au Grand Orient (1er décembre 1898), 393 et note 1. — Sa préface à un recueil des discours de Combes (Une campagne laïque), VI, 44, note 1 ; 401, note 3. — Son discours aux obsèques de Zola, 199. — Remplace Joseph Reinach au comité central de la Ligue des Droits de l’homme, 413. — Assiste à la remise de la croix de la Légion d’honneur à Dreyfus, 501.

François, capitaine, attaché au bureau des Renseignements du ministère de la Guerre, V, 65, note 3. — Se rend à Gènes pour surveiller le départ de Lajoux pour le Brésil, 65, note 5, 474. — Son animosité à l’égard de Dreyfus, 245. — Remet à Mareschal les vingt-cinq mille francs destinés à « Austerlitz », 465, 467, note 1. — Fait signer au général Delanne la formule de prélèvement de cette somme. 473 et note 6. — Son rapport à Galliffet sur la nécessité de maintenir le bureau des Renseignements, 475 et note 1 ; VI, 90. — Remplace Rollin comme chef du bureau, 90. — Ses intrigues contre Tomps, 91-92. — Informe le colonel Hache et le général Lacroix du voyage de Tomps et de Lajoux à Madrid, 97. — Son rapport sur les affaires