Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/136

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
128
HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

note 1. — Guénée raconte qu’elle aurait été engagée par le grand rabbin à convenir des vices de son gendre, 262.

Hadamard (Jacques), professeur suppléant au Collège de France et maître de conférences à la Sorbonne. Son entretien avec Painlevé au sujet de Dreyfus, III, 590-591. — Ses déclarations sont travesties par Gonse, 591-592. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), IV, 517. — Sa déposition devant le conseil de guerre de Rennes, V, 408, note 3. — Sa lettre au Figaro au sujet du témoignage de Cernuski, 480, note 1. — Mis en cause par Du Paty dans ses déclarations à Leydet touchant la prétendue connexité entre l’Affaire Humbert et l’Affaire Dreyfus, VI, 225.

Hadamard (Paul-David), capitaine, cousin de Dreyfus. Sa correspondance avec Dreyfus, I, 161.

Halévy (Daniel), homme de lettres. Recueille des adhésions à la pétition en faveur de la revision, III, 244, note 3.

Halévy (Elie), homme de lettres. Recueille des adhésions à la pétition en faveur de la revision, III, 244, note 3.

Halgan (Emmanuel), sénateur. Son intervention à la séance du 24 décembre 1900, VI, 149. — Vote contre la résolution relative à l’installation des bustes de Scheurer-Kestner et de Trarieux dans la galerie du Sénat, 478, note 2. — Vote contre la réintégration de Dreyfus, 500, note 1.

Hallouin, capitaine. Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes), VI, 271 note 4, appendice, 538. — Assiste Chamoin dans la vérification du dossier secret, 312. Hamard (Octave), commissaire. Se présente au « fort Chabrol » pour arrêter Guérin (15 août 1899), V, 423.

Hanotaux (Gabriel). Ministre des Affaires étrangères dans le cabinet Dupuy (mai 1894). Son désaccord avec Casimir-Perier au sujet de la communication des dépêches diplomatiques, I, 15. — Assiste au « petit conseil » du 11 octobre 1894, 79 ; appendice, 582-584. — S’oppose à l’ouverture d’une instruction judiciaire ou d’une enquête sur Dreyfus, 79-80 ; appendice, 585-586. — Sa démarche auprès de Mercier pour lui renouveler ses instances à ce sujet, 85. — Reçoit communication de la traduction de la dépêche du 2 novembre 1894, 251. — Ne s’en entretient pas avec Mercier, appendice, 596-597. — Déclarations que lui fait Munster au sujet de Dreyfus, 254-256. — La pièce « Canaille de D… » lui est montrée par Mercier, 279. — Se rend à l’ambassade d’Allemagne à la suite de nouvelles déclarations de Munster, 340. — Commentaires de la presse au sujet de cette visite, 341-344. — Dément avoir remis à Munster des documents relatifs à l’Affaire, 345. — Sa maladie, 381. — Sa conversation avec Monod au sujet de Dreyfus, 523, II, 553-554. — Quitte Paris, I, 524. — Avisé de la dépêche Hohenlohe ; annonce son retour à Paris, 525. — Rentre le 9 janvier 1895, 543. — Ministre des Affaires étrangères dans le cabinet Ribot (janvier 1895), 560. — Son entretien avec Trarieux : la pièce « Canaille de D… », II, 177. — Ministre des Affaires étrangères dans le cabinet Méline (avril 1896), 197, note 1. — Laisse sans réponse une lettre de Monod au sujet de la correspondance de Mme Dreyfus avec son mari, 455, note 4. — Son attitude au Conseil des ministres du 9 novembre 1897,