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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/139

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INDEX GÉNÉRAL

manœuvres auprès de Mercier, 234-236. — Prend copie du texte chiffré et des traductions de la dépêche du 2 novembre, 248. — Reçoit de la Préfecture de police la note relative à Dreyfus et la fait disparaître, 260-261. — Demande à Guénée un rapport sur les femmes qu’aurait fréquentées Dreyfus, 258, 262-263. — Confirme le récit de son entretien avec Dreyfus, 266. — Chargé par Sandherr de réunir les pièces de service relatives à l’Affaire ; le « dossier secret », 267-268. — Dissimule la lettre de Schwarzkoppen annonçant un nouvel envoi de documents secrets, 290. — Connaît le questionnaire allemand sur le canon de 120 court, 296. — Les Deux Frères, feuilleton du Petit Journal, 339. — Son récit mensonger au sujet des dossiers secrets ; propos que lui aurait tenus Sandherr, 346-347. — Le dossier ultra-secret aurait été constitué en 1894, 351. — Avait été en 1878 le collaborateur d’Esterhazy au bureau des renseignements, 352 ; II, 26. — Garde le commentaire de Du Paty, I, 360. — Dissimule à Mercier le dossier de l’obus à la mélinite, 362. — Aurait assisté à la mise sous pli du dossier secret, 364. — Témoin au procès de 1894, 388-389. — Affirme à Gallet la culpabilité de Dreyfus, 398. — Sa première déposition au Conseil de guerre. 405. — Redoute l’acquittement de Dreyfus, 416. — Sa seconde déposition, 417. — Renouvelle par serment ses affirmations sur la culpabilité de Dreyfus, 418. — Impression produite par sa déposition, 420, 446. — A dénaturé pour charger Dreyfus les propos de Val-Carlos, 421. — Ne disloque pas le dossier secret, malgré l’ordre de Mercier, 452. — Remet devant Gribelin ce dossier dans l’armoire de fer, 453 ; appendice, 618-619. — Ne parle pas des prétendus aveux de Dreyfus, 548. — Hypothèse selon laquelle il aurait été au service de la Russie avant l’alliance, II, 70 ; III, 563, note 1. — Esterhazy le désigne à Schwarzkoppen comme son informateur, II, 72, 74. — Est à Pogny le voisin d’Esterhazy, 76. — Sa complicité présumée avec Esterhazy, 79-82. — Répand le bruit que Dreyfus était aux gages de Schmettau, 118. — Avise Esterhazy des soupçons de Cesti sur Donin de Rosières, 183. — Méfiance de Cordier et de Sandherr à son égard, 212. — Sa toute-puissance au bureau des renseignements pendant la maladie de Sandherr, 213. — Déçu par la nomination de Picquart, 215. — Gagne la confiance de Picquart, 215. — Recommande Guénée à Picquart pour une enquête sur Dreyfus, 216-217. — Aurait fait adresser à Dreyfus une fausse lettre signée « Blenheim », 218. — Ses relations avec Lauth et Gribelin, 226-227. — A ordre de remettre les cornets de la Bastian à Picquart sans les ouvrir, 228 ; transgresse cette prescription, 229-230, appendice, 695-699. — Impression qu’il produit à Picquart. 231. — Son rôle dans l’affaire Boulot, 236. — Ses déplacements en mars 1896, 238. — Remet à Picquart le cornet contenant le petit bleu, 239. — Perd sa mère, 242. — Apprend la découverte du petit bleu, 242. — Interrogé par Picquart au sujet d’Esterhazy, affecte de l’avoir perdu de vue et met Weil en cause, 249-250. — Désigne l’agent Desvernine pour l’enquête sur Esterhazy ; prévient Esterhazy, 251. — Informe Picquart de prétendus soupçons dont la Bastian aurait été l’objet à l’ambassade d’Allemagne, 255. — Cherche à jeter des doutes dans l’esprit de ses collègues sur l’authenticité du petit bleu, 257, 259. — Ses intrigues contre Picquart, 263. — Met Lauth en relations avec la Bastian, prétend être fâché avec