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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/14

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Vallé de déférer à la Cour de cassation l’ordonnance de Dessirier sur la mise en liberté provisoire des officiers inculpés, 378. — Autorise Cassel à conférer avec Targe, 379. — Donne à Rabier l’ordre d’abandonner les poursuites, 385 et note 4, 386. — Reçoit une lettre insolente de Cuignet, fait examiner cet officier au point de vue mental, 388-389. — Refuse de lui communiquer les rapports médicaux et lui inflige les arrêts de rigueur, 390. — Ses projets relatifs à l’avancement des officiers ; son décret sur la commission de classement, 391-394. — Les registres Corinthe et Carthage, 395. — Organisation du système des fiches ; rapports du ministère de la Guerre avec le Grand-Orient, 398-400. — Interpellé à la Chambre sur l’organisation d’un système de délation ; nie être au courant des faits qui lui sont reprochés, 402-405. — Donne, puis reprend sa démission, 407. — Fait une enquête sur les lettres de Mollin à Vadecard, renvoie Mollin dans son régiment, 408. — Interroge les officiers accusés de délation, 409. — Son discours en réponse aux interpellations Guyot de Villeneuve, Berteaux et Jaurès (séance du 4 novembre 1904), 413-419. — Frappé au visage par Syveton, 420. — Sa démission, 421. — Avait eu l’intention de réintégrer Picquart, 481, note 1, 483. — N’est pas invité à assister à la remise de la croix de la Légion d’Honneur à Dreyfus, 501, note 3.

Annenkoff, général russe. Aurait raconté qu’Esterhazy et Henry avaient été au service de la Russie avant l’alliance, II, 69, note 3. — Soupçonné d’avoir servi d’intermédiaire entre Henry et l’État-Major russe, III, 563, note 1.

Anthoine (François), capitaine. Aurait appris par D’Attel les prétendus aveux de Dreyfus, I, 517, appendice, 626-629. — Ses déclarations à Gonse sur ce sujet en janvier 1898, III, 291. — Membre du conseil d’enquête appelé à se prononcer sur le cas de Picquart, 324. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), IV, 451. — Cité par Jouaust au procès de Rennes, V, 284. — Sa déposition, 442.

Anti-juif. Voir Guérin (Jules) et Régis (Max).

Appell, doyen de la Faculté des Sciences de Paris. Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2. — Chargé par l’Académie des Sciences d’examiner les systèmes de Bertillon, de Valerio et de Corps sur l’écriture du bordereau, VI, 310. — Conclusions du rapport qu’il établit avec Darboux et Poincaré, 373.

Appleton. Son opinion sur la cassation sans renvoi, V, 75, note 3 ; 78, note 1.

Archdeacon, député de Paris. Subventionne les ligues qui ont préparé la manifestation d’Auteuil, V, 135.

Arco-Valley (Comte d’), premier secrétaire de l’ambassade d’Allemagne. Une partie d’un cours confidentiel de l’École de Guerre, copiée de sa main, figure au dossier secret, VI, 252, 254.

Arconati-Visconti (Marqse). Reçoit de Ressmann une lettre affirmant l’innocence de Dreyfus, V, 52 et note 2.

Arenberg (Prince d’), membre de l’Institut, député du Cher. Son jugement sur Picquart et Henry, III, 76. — Vote l’ordre du jour flétrissant les scandales d’Auteuil, V, 118, note 1. — S’abstient dans le vote-de l’ordre du