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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/142

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

termédiaire entre Dreyfus et l’Allemagne, 46 ; I, appendice, 600. — Lui montre le brouillon d’une note de Schneider, III, 47-48. — Maquille ce document, 49. — Fabrique un rapport d’agent sur la provenance du bordereau, 49. — Ne veut produire la fausse lettre de Panizzardi qu’à huis-clos, 75. — Porte à Pellieux les dossiers secrets de Dreyfus et d’Esterhazy, 76. — Confiance qu’il inspire à Pellieux, 76. — Ses déclarations à Pellieux touchant Esterhazy, le bordereau, le petit bleu, les entrevues de Bâle et de Luxembourg, les soupçons dont lui-même a été l’objet, 77-78. — Accuse Picquart : d’avoir communiqué le dossier secret à Leblois, 79 ; d’avoir voulu authentiquer le petit bleu, 80. — Ne parle pas du grattage, 81. — Attribue à Souffrain la dépêche Speranza, 82. — Jugement porté par lui sur le rôle de Picquart, 82. — Ses relations avec Bertulus ; il recommande ce magistrat à Pellieux, 84. — Continuera renseigner Esterhazy, 85. — Avertit Gonse des scrupules de Tézenas, 92. — Assiste à la perquisition au domicile de Picquart, 94-95. — Continue à intercepter la correspondance de Picquart, 104. — Le fait suivre, 105. — Combine avec Esterhazy le stratagème du faux « Otto », 108-111. — Dissuade Esterhazy de passer à l’étranger, 115. — Entendu à nouveau par Pellieux, 122. — Ses inquiétudes, 128. — Engage Esterhazy à demander sa comparution devant un conseil de guerre et lui garantit l’acquittement, 129-130. — — Fait discréditer par la presse les lettres de Gonse que veut publier Scheurer-Kestner, 147. — Rassure Esterhazy sur l’issue de l’instruction Ravary, 170. — Lui dicte les réponses qu’il doit faire, 171. — Renouvelle ses accusations contre Picquart, 190. — Fait décider qu’il sera entendu à huis-clos par le Conseil de guerre, 196. — Témoin au procès Esterhazy, 205. — Sa déposition, 211. — Est confronté avec Picquart et Leblois, 211-212. — Fait disparaître le rapport de Du Paty sur sa visite à Dreyfus au Cherche-Midi, I, 621-622, 626, III, 285, 288. — Cité comme témoin au procès Zola, 302. — Remet au conseil d’enquête chargé de l’affaire Picquart le dossier secret des pigeons voyageurs, 324. — Sa déposition, 325. — Ses démêlés avec Lemercier-Picard, 332. — Lui aurait fait adresser des lettres de menace après le procès Reinach-Rochefort, 334-335. — Tronque des lettres de Mme Dreyfus à son mari, 338. — Fait défaut à la seconde audience du procès Zola, 344, 355. — Sa première déposition au procès Zola, 366 : il feint d’être malade ; sa confrontation avec Leblois, 367-368. — Sa seconde déposition, 389. — Est confronté avec Picquart : violent incident à la barre, 390-391. — Questionné par Albert Clemenceau et Labori ; « Allons-y ! », 395. — Raconte l’histoire du dossier ultra-secret, 395-396. — Essaie d’intimider Paul Meyer après sa déposition au procès Zola, 428, note 1. — Son faux n’est connu que de Lemercier-Picard et d’Esterhazy, 446. — Nouvelle tactique adoptée par lui pour cacher ce faux à la défense : la peur de la guerre, 448. — Mort de Lemercier-Picard, 496-497. — On trouve sur le cadavre de Lemercier-Picard une lettre signée H, 500. — En relations par Guénée avec l’Écho de Paris, 504. — Conteste l’identification de Lemercier-Picard avec Leeman, 506. — Refuse d’abord de croiser l’épée avec Picquart, 514 ; il y consent et est blessé en duel, 515. — Reçoit après le duel la visite de Boisdeffre, 516. — Son inquiétude au sujet de Bertulus et de Du Paty, 518-519. — Entretient la légende de la « Dame voilée », 525. — Aurait engagé Gonse à