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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/161

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INDEX GÉNÉRAL

comme ayant eu communication du dossier secret de l’affaire Dreyfus, 407. — Avise Picquart qu’il cherche à se faire nommer avocat-conseil du ministère de la Guerre, 409. — Second rapport de Guénée contre lui, 459. — Visite que lui fait Picquart pendant son congé (juin 1897), 520-521. — Reçoit les confidences de Picquart sur l’Affaire ; Picquart lui laisse ses instructions et lui confie les lettres de Gonse, 523-524. — Sa perplexité ; il rencontre Scheurer-Kestner aux Jardies, 525 ; son entretien avec Scheurer-Kestner, il lui confie les révélations de Picquart sous le sceau du secret et lui montre les lettres de Gonse, 525-526. — Scheurer-Kestner convaincu de l’innocence de Dreyfus, 527. — Nouvelle entrevue avec Scheurer-Kestner : Jaume est chargé de rechercher des spécimens de l’écriture d’Esterhazy, 529. — Demande des renseignements complémentaires à Picquart, sans lui parler de ses démarches auprès de Scheurer-Kestner, 587-538. — Scheurer-Kestner lui demande de le délier du secret ; son embarras, 537-538. — Déclare à Scheurer-Kestner que Picquart songe à donner sa démission, 545. — l’engage à ne pas répondre à la lettre de Lebon, 551-552. — Refuse à Scheurer-Kestner l’autorisation de se réclamer du témoignage de Picquart et du sien, 612-13. — Ses hésitations ; il laisse Picquart dans l’ignorance de ses projets et de ceux de Scheurer-Kestner, 613-614. — Invité par Picquart à ne plus s’occuper de l’Affaire, 614. — Consent à montrer à Méline les lettres de Gonse ; Méline refuse de le recevoir, 651. — Accepte puis refuse d’accompagner Scheurer-Kestner chez Billot, 651-652. — Autorise Scheurer-Kestner à parler de Picquart à Méline, 673. — Consulte Du Buit, 675. — S’oppose à ce que Scheurer-Kestner dénonce Esterhazy à la tribune, 675. — Ses confidences à Bertrand, Zola, Prévost et Coppée, 680. — Montre à Zola les lettres de Gonse, 680. — Sa première entrevue avec Joseph Reinach ; il le met au courant des découvertes de Picquart, III, 4. — Sa déposition à l’enquête Pellieux ; il montre à Pellieux les lettres de Gonse et un billet anonyme d’Esterhazy, 60-62. — Rédige un résumé de sa déposition, 62. — Attaques de la presse antisémite contre lui, 83. — Publie en collaboration avec Joseph Reinach des articles dans le Figaro sur l’enquête Pellieux, 125. — Dément avoir eu entre les mains un reçu délivré par Esterhazy à l’ambassade d’Allemagne, 165 et note 3. — Ignore les accusations portées contre lui par Henry, Lauth et Gribelin, 173. — S’oppose à ce que Casella soit cité au procès Esterhazy, 200, note 2. — Témoin au procès Esterhazy, 205. — Sa confrontation avec Henry ; il nie avoir vu le dossier secret de l’Affaire et réclame un supplément d’enquête, 212. — Engage Zola à prendre Labori pour avocat, 301. — Fait partie du conseil de défense constitué par les promoteurs de la revision au moment du procès Zola, 301. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Mis en cause dans le rapport du général Dumont au conseil d’enquête chargé de se prononcer sur le cas de Picquart, 324. — Sa déposition devant le Conseil au sujet du dossier secret des pigeons voyageurs ; il demande à être confronté avec Gribelin, Lauth et Henry, 325. — Sa déposition au procès Zola, 346. — Démenti qu’il donne à Gribelin, 355. — Sa confrontation avec Picquart et Henry, 389 ; 391. — Insulté par Thiébaud et assailli à une sortie d’audience, 442. — Relevé par Barthou de ses fonctions d’adjoint ; incident Risler, 492 et