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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/167

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INDEX GÉNÉRAL

V, 38-39. — Refuse de considérer le faux d’Henry comme un fait nouveau, 100. — Vote l’arrêt de la Cour de cassation qui annule le jugement de 1894 et renvoie Dreyfus devant le conseil de guerre de Rennes, 105, appendice, 575.

Lepic, journaliste. Rédacteur aux Droits de l’Homme, IV, 146, note 2.

Lépine (Louis), préfet de police. Désigne trois experts judiciaires pour examiner le bordereau, I, 179. — Fait faire une enquête sur Dreyfus ; note remise à Henry à ce sujet, 260 et note 3. — Assiste au procès de 1894, 399. — Son impression sur l’attitude de Dreyfus, 400 et note 1 ; sur les dépositions des témoins, 403, 414-415, 420 ; sur la démonstration de Bertillon, 427 ; sur la plaidoirie de Demange, 433. — Prévoit l’acquittement, 447. — Gouverneur général de l’Algérie ; son attitude lors des troubles antisémites, III, 279-282, 541, note 2. — Attaques de Drumont contre lui ; il est remplacé au gouvernement de l’Algérie par Laferrière, IV, 128 et note 4. — Sa déposition devant les Chambres réunies, V, 63. — Préfet de police en remplacement de Blanc, 172, note 2 ; 185, note 3. — Mesures prises par lui lors des complots royalistes et nationalistes, 308, 310, 311, 424. — Sa déposition devant la Haute-Cour, 183, notes 3 et 4 ; 252, note 2 ; 256, note 5 ; 257, note 4 ; 262, note 4 ; 308, note 2 ; 309, note 1 ; 311, note 2 ; 425, note 3 ; 426, note 1.

Leproust (Maurice), commissaire de police. Blessé au cours d’une bagarre devant la Chambre des Députés (25 octobre 1898), IV, 337, note 3.

Le Provost de Launay (Louis), sénateur. Prévient Scheurer-Kestner qu’il le mettra en cause au cours des débats relatifs à la loi sur l’espionnage, II, 691. — Assiste à la séance de la Chambre où Billot annonce l’ouverture d’une enquête sur Esterhazy et intervient au Sénat pour demander la mise à l’ordre du jour du projet Mercier sur la trahison et l’espionnage, III, 5-6. — Son attitude pendant l’interpellation Scheurer-Kestner sur l’affaire Dreyfus (7 décembre 1897), 154. — Organise un meeting avec Guérin ; scènes tumultueuses, 277. — Annonce qu’il réclamera du Sénat une enquête sur les dépenses du Syndicat, 487. — Réclame des poursuites contre Gohier pour son livre « l’Armée contre la Nation », IV, 424. — Interpelle sur la démission de Quesnay, 528, note 3. — Assiste à un conciliabule au fort Chabrol (17 juin 1899), V, 183 et note 4. — Vote contre la résolution relative à l’installation des bustes de Scheurer-Kestner et de Trarieux dans la galerie du Sénat (juillet 1906), VI, 478, note 3.

Lequeux (André), consul général de France à Londres. Reçoit la déposition d’Esterhazy (février-mars 1900), II, 27, note 4 ; VI, 76, 78.

Le Rendu. Complice de Decrion dans une affaire d’espionnage ; sa condamnation, V, 241, note 1.

Lerolle (Paul), député. Blessé au cours d’une réunion publique à Paris (décembre 1898), IV, 426 et note 2.

Le Rond, capitaine d’artillerie. Désigné pour instruire au camp de Châlons (août 1894) les officiers des armes autres que l’artillerie, II, 99 et note 2. — Questionné en juillet 1895 par Esterhazy au sujet du tir de l’artillerie, 83, note 2. — Entendu par Picquart au cours de son