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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/178

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Mechtchersky (Prince). Son journal le « Gradjanine » est hostile à la revision, III, 329, note 2.

Méline (Jules), député. Président du Conseil et ministre de l’Agriculture (avril 1896), II, 197, note 1. — N’est pas mis par Billot au courant des découvertes de Picquart sur Esterhazy, 340. — Ses sentiments à l’égard de Billot, 378. — Interpellation Castelin : ses déclarations à la chambre (séance du 18 novembre 1896), 446-452. — Considère l’Affaire comme terminée après l’interpellation, 453. — Waldeck-Rousseau lui fait part de ses doutes sur la culpabilité de Dreyfus, 528. — Lebon lui rend compte de son entretien avec Joseph Reinach, 551. — Entretient Demange de la communication secrète qui lui a été révélée par Billot, 626, note 4. — Ses inquiétudes au sujet de la campagne de Scheurer-Kestner en faveur de la revision ; il est rassuré par Billot, 626. — Prend connaissance du dossier de l’affaire Du Paty-Comminges, 643, note 2 — Son entrevue avec Scheurer-Kestner ; il refuse de recevoir Leblois avant que celui-ci ait vu Billot, 650-651. — Nouvelle entrevue avec Scheurer-Kestner : il l’invite à saisir le garde des Sceaux d’une requête, 653-654. — Note officieuse relatant cette entrevue, 654. — Son attitude au conseil des ministres du 9 novembre 1897 ; note officielle : « Dreyfus régulièrement et justement condamné », 663-664. — Refuse, d’accord avec Billot, la communication du dossier Dreyfus à Darlan, 664-665. — Dernière entrevue avec Scheurer-Kestner : celui-ci lui nomme Picquart, 673. — Conseil des ministres du 18 novembre 1898 ; la visite de Pauffin à Rochefort, III, 38. — Turrel lui rapporte les propos de Joseph Reinach réclamant l’audition de Picquart par Pellieux, 65. — Donne le portefeuille de la justice à Milliard après la démission de Darlan (décembre 1897), 126-127. — Déclare que Saussier a informé de sa propre initiative contre Esterhazy, 133. — Question de Castelin à la Chambre sur l’ordre d’informer ; son discours : « Il n’y a pas d’affaire Dreyfus », 137-139. — Envoie chercher Billot après le discours de Mun, 139-142. — Interpellé au Sénat par Scheurer-Kestner sur ses déclarations à la Chambre (séance du 7 décembre 1897) ; sa réplique, 149-154. — Refuse de prendre connaissance de l’acte d’accusation de D’Ormescheville, 160. — La lettre J’accuse : il se refuse d’abord à engager des poursuites contre Zola, 230. — Ses déclarations à la Chambre avant l’interpellation de Mun sur la lettre J’accuse, 234. — Sa réponse à Cavaignac, 238-239. — Refuse de publier la lettre de Gonse à Boisdeffre relatant les aveux, 290. — Interpellation de Cavaignac sur les aveux, 304-305. — Son discours : il attaque les promoteurs de la revision ; succès qu’obtiennent ses déclarations (séance du 22 janvier 1898), 306-307. — Reprise de la discussion à la Chambre : il refuse de répondre à Jaurès sur la communication secrète (séance du 24 janvier), 311-313. — Informé par Hanotaux de la protestation de Tornielli contre l’usage du « faux Henry » au procès Esterhazy, 320 et note 2. — Fait envoyer des instructions à Delegorgue pour clore l’incident soulevé au procès Zola par la divulgation de ce faux, 449. — Séance du 24 février 1898 à la Chambre : son discours sur l’attitude des généraux au procès Zola ; menaces à l’adresse des revisionnistes, 484-488 ; vote de l’affichage, 488. — Retient la pétition adressée aux Chambres par Dreyfus le 28 février 1898,