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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/212

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

tulus : la dépêche Blanche n’est ni de Du Paty, ni de Mme Du Paty, 617. — Accuse Esterhazy d’être l’auteur de l’article « Dixi », 617. — Reçoit d’Esterhazy une lettre de menaces le soir de l’ajournement du procès Zola, 622. — Assailli par lui dans les rues de Versailles, 623. — Réunion chez Labori avec Reinach, Demange et Trarieux, IV, 33. — Sa lettre à Brisson au sujet du discours de Cavaignac : la pièce produite à la tribune est un faux, 33-35 ; publication de cette lettre, 38-39. — Plainte en espionnage portée contre lui par Cavaignac, 39. — Son arrestation réclamée par la presse nationaliste, 39, note 1. — Demande d’interpellation de Fournière ; déclarations de Cavaignac à la Chambre (séance du 12 juillet 1898), 42. — Perquisition faite, en son absence, à son domicile par Fabre et Feuilloley, 45. — Arrêté et incarcéré à la Santé, 45-46. — Dépose contre Du Paty une plainte en faux, 86-88. — Se pourvoit contre l’ordonnance de Bertulus au sujet des dépêches Blanche et Speranza, 92-93. — Arrêt de la Chambre des mises en accusation, 93-96. — Se pourvoit en cassation contre cet arrêt, 96. — Ouverture de l’instruction Fabre, 98. — Son interrogatoire, 99-102. — Accusé par Henry et Lauth d’avoir documenté Bernard Lazare et correspondu de Tunisie avec Scheurer-Kestner, 104-105. — Confronté avec Henry et Gribelin, 109-110 ; avec Pellieux, 111. — Dépositions de Boisdeffre, 111 ; de Leblois, 112-114. — Invité par Fabre à demander sa mise en liberté provisoire, s’y refuse, 116. — Figure parmi les revisionnistes que Cavaignac projette de déférer à la Haute-Cour, 125. — Clôture de l’instruction Fabre : le dossier est transmis à Siben, 162. — Réquisitoire de Siben, 162-164. — Arrêt de la Cour de cassation sur ses pourvois, 227-228. — Apprend les aveux et le suicide d’Henry, 246. — Zurlinden le croit l’auteur du grattage du Petit Bleu, 246-248. — À la suite d’une démarche de Joseph Reinach, est invité à adresser au garde des sceaux un mémoire sur l’Affaire, 262-263. — Le président de la neuvième chambre refuse de statuer sur sa demande de mise en liberté provisoire, 263. — Assigne l’Éclair qui l’accuse d’avoir falsifié le Petit Bleu, 263-264. — Zurlinden demande au Conseil des ministres l’autorisation de lancer un ordre d’informer contre lui ; opposition de Brisson, 268-269. — Son dossier est transmis à Chanoine par Zurlinden, 275. — Chanoine donne, à l’insu de Brisson, l’ordre d’ouvrir contre lui une enquête pour faux et usage de faux, 278. — Conférence entre Brisson, Sarrien et Chanoine à ce sujet, 282. — Son procès devant la huitième Chambre, réquisitoire de Siben, conclusions de Labori, 284-285. — Ses déclarations : « le lacet de Lemercier-Picquart ou le rasoir d’Henry » ; l’affaire est renvoyée au premier jour, 286. — Transféré au Cherche-Midi et mis au secret, 287. — Note officieuse allemande déclarant le Petit Bleu authentique, 297. — l’instruction ouverte contre lui est confiée à Tavernier, 317. — Chanoine aggrave l’inculpation, 319-320. — Sa mise au secret est maintenue par Chanoine malgré Brisson, 326 ; et note 2. — Expertise du Petit Bleu, 376-378. — Interrogé par Tavernier, 379. — Démarches de Labori pour être autorisé à communiquer avec lui, 379-380. — Perplexité de Freycinet au sujet de son procès, 380-382. — Clôture de l’enquête : rapport de Tavernier, conclusions conformes de Foulon ; il est l’envoyé devant un conseil de guerre, 383-386. — Convocation du Conseil, 387. —