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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/232

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Cuignet pour y attester l’existence du bordereau annoté, 147. — Annonce la rupture entre les Dreyfus et Labori, 174. — Insinue que Zola s’est suicidé, 198. — Sa déposition à l’enquête de la Chambre criminelle (revision du procès de Rennes) au sujet de Val-Carlos, 302. — Son procès avec Val-Carlos, V, 234, note 5 ; VI, 162, note 1 ; 302, note 5. — Sa déposition devant la Chambre criminelle au sujet du bordereau annoté, 323.

Rodays (Fernand de), directeur du « Figaro ». Ses doutes sur la culpabilité de Dreyfus, I, 508, note 2. — Conseille à Mathieu Dreyfus d’ajourner la campagne en faveur de la revision, II, 167. — Sollicité par Bernard Lazare en faveur de Dreyfus, 428. — Raconte à Zola comment lui est venue la conviction de l’innocence de Dreyfus, III, 67. — Démarche de Lemercier-Picard auprès de lui ; le « faux Otto », 108-109. — Abandonne la direction du Figaro ; remplacé par Périvier, 157-158. — Avance des fonds à Esterhazy, 517. — Reprend la direction du Figaro ; se prononce pour la grâce de Dreyfus, V, 546, note 2.

Rogat (Albert), rédacteur à « l’Autorité ». Engage Esterhazy à se livrer à des voies de fait sur Mathieu Dreyfus, III, 9, note 1.

Roger-Jourdain (Mme). Fait une mensualité à la femme Bastian ; sa déposition à la cour de Cassation est reçue par le juge Boucard (17 mai 1906), VI, 349, note 1.

Roget (Gaudérique), lieutenant-colonel. Jugement porté par lui sur Dreyfus ; fournit au colonel Fabre des renseignements pour son enquête, I, 58. — Nommé en janvier 1893 au 4e bureau, II, 75, note 7. — Promu général ; son opinion sur le verdict du procès Reinach-Rochefort, III, 362. — Informé par Henry des déclarations de Marguerite Pays au sujet des dépêches Blanche et Speranza, 528 et note 3. — Ses soupçons contre Du Paty, 529 et note 3. — Autorisé par Billot à faire une enquête personnelle sur l’Affaire ; découvre le grattage du Petit Bleu, 610-611. — Révèle sa découverte à Gonse qui n’en tient pas compte, 611 et note 2. — Documenté sur l’Affaire par Henry, IV, 61-64. — Chef du cabinet de Cavaignac ; le met au courant de l’Affaire, excite ses défiances à l’égard de Picquart, 8 et note 3. — Informé par Henry de l’entrevue de Montsouris, 63. — Son opinion sur Henry, 64 ; sur Du Paty, 67. — Ses instructions à Henry avant le dépouillement des papiers Esterhazy chez Bertulus, 72. — Faux rapport que lui fait Henry de son entretien avec Bertulus, 78. — Refuse de se rendre chez Bertulus, 79. — Assiste à l’entretien entre Cavaignac et Tézenas, 80-81. — Reçoit Tézenas au ministère, 86. — Mis par Cuignet au courant de la découverte d’un des faux d’Henry, 154-156. — En informe Gonse, 182. — Assiste à l’interrogatoire d’Henry ; en prend un procès-verbal, 184 et note 3. — Garde Henry à vue ; reçoit ses confidences sur Esterhazy et sur le bordereau, 193-196. — Pris par Zurlinden comme chef de cabinet ; engage le nouveau ministre à traduire Du Paty devant un conseil d’enquête, 245. — Met Zurlinden au courant de l’Affaire, 245-247. — Fait connaître à la presse l’avis « motivé et définitif » de Zurlinden sur Dreyfus, 256. — Nommé par Chanoine au commandement d’une brigade à Paris, 327. — Sa déposition à l’instruction Tavernier, 378-379 ; devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 395-396 ; I, 70 ; 291, note 3 : 361, note 3 ; 420, note