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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/244

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

ports avec Esterhazy en 1896, 244. — Récit du colonel Schneider à Émile Picot sur les circonstances dans lesquelles il écrivit le Petit bleu, 244, note 1. — Arrivée du Petit bleu au bureau des renseignements, 240-241 ; 244-245. — Reçoit la visite d’Esterhazy, 252. — Averti par Esterhazy des soupçons dont il est l’objet, surveille ses employés, 264. — Propos qu’il tient au colonel Chauvet au sujet de Du Paty, I, 542 et note 1. — Une de ses lettres à Panizzardi est falsifiée par Henry, puis remise à Gonse, II, 388. — Reconnaît l’écriture d’Esterhazy dans la photographie du bordereau publiée par le Matin 434-435, 476. — Refuse de rentrer en relations avec Esterhazy, 476-477 et note 1. — Nouvelles visites d’Esterhazy avant et après l’entrevue de Montsouris, 591-593, 596. — Avoue à Munster ses relations avec Esterhazy ; son rapport à Schlieffen, 597-598. — Son rappel ; lettres comminatoires qu’il reçoit à cette occasion, 598. — Son entretien avec Lemercier-Picard, 599. — Ses confidences à Panizzardi, 599. — Déclarations d’Esterhazy à son sujet, III, 10. — Reçu par Félix Faure en audience de congé ; il lui déclare n’avoir jamais connu Dreyfus, 42-43. — Son départ ; commentaires de la presse française, 43. — Nommé commandant du 2e régiment des grenadiers de la Garde, VI, 522. — Son entrevue avec Casella à Berlin ; il lui remet pour Panizzardi une lettre incriminant Esterhazy, III, 199-200. — Cité par Zola comme témoin, 303. — Max Nordau lui soumet le récit tiré par Zola de ses confidences à Panizzardi, 317. — Interrogé par l’empereur d’Autriche sur l’Affaire, 54, note 2. — La photographie de Carlsruhe, 609. — Se déclare prêt à déposer devant la justice française, IV, 18. — Propose un rendez-vous à Casella, puis lui fait offrir un pli scellé par un émissaire ; refus de Casella, 19. — Note officieuse allemande au sujet du petit bleu, 297 et note 2. — Reconnaît avoir adressé des cartes-télégrammes à Esterhazy, V, 73 et note 4. — Esterhazy déclare être entré en relations avec lui par ordre de Sandherr, 276. — Télégramme de Labori le sollicitant de venir déposer à Rennes, son silence, 486-487, 492. — Questionnaire que Labori propose de lui faire envoyer, 493, note 1. — Note officielle du Moniteur de l’Empire, 494. — Ses déclarations au général Rosan sur les relations d’Henry avec Esterhazy, VI, 15. — Son entretien avec Joseph Reinach ; texte de trois lettres qu’il lui écrit ; il refuse de faire de nouvelles déclarations, 181, appendice, 520-522. — André et Delcassé refusent de lui envoyer une commission rogatoire (revision du procès de Rennes), 356. — Lettre de Munster à Joseph Reinach à son sujet, appendice, 508-509.

Schwob (Maurice), directeur du « Phare de la Loire ». Georges Thiébaud lui propose un programme d’action commune contre les protestants, III, 577 et note 1.

Séailles (Gabriel), professeur à la Sorbonne. Signe la pétition en faveur de la revision, III, 245. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Sa déclaration au procès, 206.

Séard, général, ancien directeur de l’École de pyrotechnie. Membre de la commission désignée par André pour examiner les questions techniques ayant rapport à l’Affaire, VI, 372, appendice, 545.

Sebert, général, membre de l’Académie des Sciences. Sa dépo-