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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/26

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS
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rapport de Lebrun-Renaud sur les aveux, III, 283, note 1. — Sa visite à Zola en Angleterre, IV, 59, note 3. — Mis en cause par Gribelin et Lauth comme ayant été documenté par Picquart, 104, et note 6. — Sa déposition à l’instruction Fabre, 112. — Figure sur la liste des revisionnistes que Cavaignac propose de déférer à la Haute-Cour, 125. — L’exemplaire de son mémoire adressé à Freystætter est intercepté, V, 57. — Sa lettre ouverte à l’Aurore au sujet du remerciement public adressé par la Ligue des Droits de l’homme aux « champions de Dreyfus », 144-145. — Tient Joseph Reinach au courant des incidents du procès de Rennes, 269. — Son impression sur l’attitude de Dreyfus, 282. — Son opinion sur Jouaust, 285. — Émet l’avis que Demange doit seul plaider pour Dreyfus, 515, 518-519. — Remet à Labori une lettre de Cornély à ce sujet, 521. — Se prononce pour la grâce de Dreyfus, 546. — Conseille à Mathieu Dreyfus d’acheter les papiers d’Esterhazy, VI, 76. — Sa polémique avec Labori, 180. — Collabore à la constitution du dossier des Dreyfus sur le bordereau annoté, 206. — Sa mort, 279.

Bernard (Maurice), ingénieur des mines. Sa déposition à Rennes sur le système de Bertillon, I, 308, note 1 ; V, 433 ; note 1, 435 ; VI, 310, note 2.

Bernard (Octave), conseiller à la Cour de cassation. Passe pour favorable à la revision, V, 26, note 1. — Pose à Freystætter une question relative à la communication secrète au procès de 1894, 62. — Intervient lors de la rédaction de l’arrêt cassant le verdict de 1894, 100. — Procureur général en remplacement de Bertrand, 185, note 3. — Ses réquisitions devant la Haute-Cour, 565. — Soutient la compétence de la Haute-Cour, VI, 59. — Son réquisitoire, 64.

Bernard, capitaine. Sa déposition sur les prétendus aveux de Dreyfus à Lebrun-Renaud (janvier 1898), III, 291 et note 3.

Bernard (Mme). Prétend connaître le vrai coupable et offre des documents à Mathieu Dreyfus, II, 166-167.

Bernard (de), sous-lieutenant. Mis par Galliffet en disponibilité par retrait d’emploi pour outrages au Président de la République, VI, 67, note 1.

Bernheim (Fernand), lieutenant d’artillerie. Son entretien avec Esterhazy à Rouen, II, 84, 102. — Esterhazy lui emprunte la réglette de correspondance et le règlement « siège et place », I, 295 ; II, 103-104. — Invité par Pellieux à fournir des renseignements sur ses relations avec Esterhazy, III, 58 et note 6. — Sa réponse, 100. — Sa déposition à l’enquête Pellieux, 100, II, 605, note 1 ; au procès de Rennes, V, 447-448. — Ses démêlés avec Hartmann ; sa déposition à l’enquête de la Cour de cassation (revision du procès de Rennes), VI, 336-339.

Bernis (Comte de), député du Gard. Insulte et frappe Jaurès au cours de l’interpellation Cavaignac (22 janvier 1898), III, 309-310. — Jaurès refuse de se battre avec lui, 310, note 1. — Avisé par le général de Sancy que le bordereau aurait été volé à l’ambassade d’Allemagne pendant un incendie, 397, note 1.

Bernollin, caporal. Huissier chez le colonel de Sancy. Sa déposition devant D’Ormescheville, I, 266. — Avait copié une note sur Madagascar, 299. — Le colonel Maurel refuse de le confronter avec Dreyfus, 402-403.

Berr (Émile), rédacteur au