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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/260

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

16-22. — S’oppose à la convocation immédiate des Chambres après le procès de Rennes (septembre 1899), 28-29. — Sa politique générale ; son discours à la séance de la Chambre du 16 novembre 1899, 34, 35, note 2. — Lutte contre les congrégations : projet de loi sur le contrat d’association, 35-43. — Perquisition chez les Assomptionnistes, 43. — Rentrée des Chambres (14 novembre 1899) ; discussion des interpellations ; son discours à la Chambre sur le programme républicain, 46-50. — Dépôt du projet d’amnistie au Sénat, 50. — Ajournement des procès suscités par l’Affaire ; polémiques contre l’amnistie, 52-54. — Lettres que lui adresse Esterhazy, 73-74. — Invite le consul général Lequeux à recevoir la déposition d’Esterhazy, 76-77. — Impression que lui produit cette déposition, 78-79. — Nouvelles lettres d’Esterhazy, 80. — Commission sénatoriale de l’amnistie : nouveau projet, 81-82. — l’exposition universelle ; discours à la Chambre (séance du 16 avril 1900), 85. — Ordonne une enquête sur l’arrestation de Wessel, 106-107. — Article de l’Éclair (La Reprise de l’Affaire) sur un prétendu complot de police organisé par lui, 89. — Séance de la Chambre du 22 mai 1900 ; interpellation Gouzy ; son discours, 112-118. — Discours d’Alphonse Humbert sur les lettres de Tomps à Mathilde : sa réponse, 114-115. — Séance du 25 mai : ses déclarations au sujet de l’affaire Tomps ; la « félonie d’un officier », 118. — Démission de Galliffet, 119. — Appelle André au ministère de la Guerre, 120-121. — Son discours au Sénat sur l’amnistie, 125-127. — Son discours-programme à Toulouse, le « milliard des congrégations », 135-137. — Combat l’extension de l’amnistie aux condamnés de la Haute-Cour (séance de la Chambre du 6 décembre 1900), 145. — Lettre de Picquart l’avisant du retrait de son Pourvoi, 150-153. — Lettre de Dreyfus demandant une enquête sur le bordereau annoté, 157-158. — Élections de 1902 : victoire de la politique républicaine, 185-187. — Raisons qui le déterminent à quitter le pouvoir démission de son ministère (3 juin 1902), 189. — Percin lui révèle le système des fiches ; ses conseils à Percin, ses avertissements à Combes, 399. — Son discours sur la politique de Combes dans l’affaire des congrégations, 417 et note 1. — Sa mort, 425 et note 1.

Wallon (Henri), sénateur, membre de l’Institut. Vote la loi de dessaisissement, V, 21. — Déclare la Haute-Cour incompétente pour juger le crime de complot, VI, 59.

Walter, commandant d’armes du Mont-Valérien. Mesures prises par lui après le suicide d’Henry, IV, 214 ; 215 ; 218-219.

Walter (Albert), député. Membre du groupe socialiste révolutionnaire, V, 179, note 1. Signe le manifeste du 12 juillet 1899 « à la France ouvrière et socialiste », 256, note 1. — Signe l’ordre du jour Vaillant réclamant une enquête sur les conseils de guerre, VI, 243.

Waru (Baronne de). Fait souscrire 200.000 francs en faveur du duc d’Orléans, IV, 584-585 et note 1 ; V, 6.

Wattinne (Adolphe), substitut. Ses conférences avec Tézenas avant le procès Zola, III, 321 ; IV, 175. — Procède avec Gonse au reclassement des pièces secrètes : le rapport Gonse-Wattinne, VI, 268, note 2 ; 306, note 6 ; appendice, 535-536. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de