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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/286

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Tome III. — La Crise.

Page 32. — Rétablir le numéro de la page.

Page 47, lignes 29-31, p. 48, lignes 1-3. — Au lieu de : ce brouillon, chiffon informe… Castelin, lire : ce brouillon, sans date ni signature, avait été ramassé à l’ambassade d’Autriche dans les premiers jours du mois d’octobre (1897), au moment où les journaux commençaient à s’occuper du projet de Scheurer et annonçaient qu’il interpellerait le gouvernement sur Dreyfus (Voir t. III, 556).

Page 48, ligne 14. — Au lieu de : I, 583, lire : III, 583.

Page 48, note 1, ligne 7. — Au lieu de : par le Temps, lire : dans le temps (Voir t. V, 512).

Comme on le voit par l’erratum ci-dessus, c’est à tort que j’avais attribué, lors de la publication de mon troisième volume, la date de 1896 à la pièce dite lettre Schneider. Cette lettre est bien de 1897, mais elle n’est pas du 30 novembre 1897, comme l’a prétendu Mercier d’après Henry ; elle est des premiers jours d’octobre, comme le général Roget en est d’ailleurs convenu lui-même dans sa déposition du 7 mai 1904 devant la Cour de cassation (I, 625). Le général Roget, dans cette déposition, me reproche l’erreur de date que j’ai commise et dont je conviens ; il ne conviendra pas de m’avoir, dans cette même déposition, cité inexactement.

La question de la dépêche Schneider a été élucidée dans le réquisitoire du procureur général Baudouin. Il me paraît nécessaire de reproduire ici cet exposé, d’où il ne résulte pas seulement que la lettre Schneider a été produite