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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/38

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Gonse des agissements d’Esterhazy, 321. — Désigne les officiers qui seront autorisés à déposer au procès Zola, 344. — Ordonne aux témoins militaires de serrer la main à Esterhazy, 351-352. — Sa déposition, II, 646, note 1 ; III, 353-355. — Bertillon lui dit qu’Esterhazy est « l’homme de paille des Dreyfus », 442 ; VI, 460. — Se rend aux assises sur la demande de Pellieux, III, 439, 440 ; ses déclarations comminatoires, 449-450. — Le Conseil des ministres refuse de lui infliger un blâme, 465. — Engage Esterhazy à provoquer Picquart en duel, 512 ; lui désigne des témoins, 513 ; IV, 22. — Se rend chez Henry après le duel, III, 516. — Envoie Du Paty chez Bertulus, 525. — Légende du bordereau volé à l’ambassade de Russie, 562-564 ; il la dément tardivement, 566. — Prend connaissance d’une fausse version de la dépêche du 2 novembre, rédigée par Gonse et Du Paty, 602. — Ses inquiétudes lorsque Cavaignac met le dossier secret à l’étude, IV, 11-13. — Part en congé après l’arrestation d’Esterhazy, 47. — Désigné par Du Paty comme l’instigateur des relations de celui-ci avec Esterhazy, 65 ; VI, 304. — Mis en cause par Esterhazy lors de l’interrogatoire de celui-ci par Bertulus, IV, 70. — Dépose à l’instruction Fabre, 111. — Lettre que lui adresse Dreyfus, 143, note 1. — Cavaignac lui révèle la découverte de Cuignet au sujet du faux d’Henry, 183. — Assiste à l’interrogatoire d’Henry, 184-190. — Demande à être relevé de ses fonctions après les aveux d’Henry, 191-192. — Sa démission refusée car Cavaignac, 202. — Remplacé par Renouard à la direction de l’État-Major, 217 et note 2. — Porte ses condoléances à Mme Henry après le suicide d’Henry, 220. — Propos de Chanoine et de Brunet à son sujet, 293. — Sa déposition à l’instruction Tavernier, 318, note 2 ; devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 363 ; nie qu’il ait été question à l’État-Major de la lettre de Guillaume II, 519. — Son attitude jugée par Esterhazy, V, 32. — Démarche de son confesseur le P. Du Lac auprès de Joseph Reinach, 148. — Reçoit de Galliffet l’assurance qu’il ne sera pas inquiété, 213. — Dépose au procès de Rennes, II, 220, note 3 ; V, 387-388 ; discute le témoignage de Fonds-Lamothe, 478 ; ménagé par Demange dans sa plaidoirie, 517. — Sa déposition au sujet de Val-Carlos lors de la seconde enquête de la Chambre criminelle, VI, 302. — Interrogé à nouveau, 315. — Ses variations sur la date de la « nuit tragique », 321. — Nie avoir cru à l’existence du bordereau annoté, 328 et note 8. — Son silence et sa retraite, 452. — Couvert par l’amnistie, 493.

Boisdeffre (Mme de), femme du précédent. Est soupçonnée d’être la « dame voilée », III, 11.

Boisdeffre (Lyonnel de) » frère du général. Ses déclarations à un rédacteur du Petit Bleu sur le rôle de son frère dans l’Affaire, IV, 456, note 1.

Boissonnet, lieutenant colonel. Témoin d’Henry dans son duel avec Picquart, III, 515.

Boivin-Champeaux, avocat à la Cour de cassation. Avocat de Dreyfus au Conseil de revision (décembre 1894) ; ne se présente pas à l’audience, I, 478.

Bollack (Léon), homme de lettres. Mission dont il est chargé par Brisson auprès de Mathieu Dreyfus, IV, 234, note 2.

Bonald (de). Souscrit aux listes rouges, IV, 441.