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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/45

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INDEX GÉNÉRAL

à la revision, 235-236. — Rappelle Félix Faure à Paris, 237 ; pourparlers en vue du remplacement de Cavaignac, 238-240. — Donne le portefeuille de la Guerre à Zurlinden, 241. — Apprend par Sarrien l’avis définitif de Zurlinden sur Dreyfus, 256. — Sa lutte avec Zurlinden au Conseil des ministres du 12 septembre 1898, 259-260. — Consent à l’ajournement du débat, en Conseil des ministres, sur la revision, 261. — Refuse à Zurlinden l’autorisation d’informer contre Picquart sans en référer au Conseil des ministres, 266. — Fait pressentir Darras, en prévision de la démission de Zurlinden, 267. — Vallé et Bourgeois lui présentent Chanoine, qui reçoit le portefeuille de la Guerre, 268-269. — Invite Zurlinden à transmettre à Chanoine son projet de plainte contre Picquart, 275. — Injurié par la presse nationaliste, 276. — Trompé par Chanoine dans l’affaire Picquart ; nomme Zurlinden au gouvernement de Paris, 277-279. — N’ose pas arrêter les poursuites dirigées par Chanoine contre Picquart, 280-283. — Violentes attaques de Clemenceau contre lui, 287-288. — Mis hors de cause par Ranc, Guyot et Jaurès, 288. — Garde des doutes sur Picquart, 289. — Fait décider par le Conseil des ministres que la requête de Mme Dreyfus sera transmise à la Cour de cassation, 298. — Son attitude lors de la grève des terrassiers et des troubles antisémites (octobre 1898), 310 ; lors des incidents de Fachoda, 316. — Convoque les Chambres, 317. — Fait demander à Chanoine le dossier secret réclamé par Manau, 322, V, 61 ; lui demande de lever la mise au secret de Picquart, IV, 326, note 2. — Communique au Conseil des ministres la réponse qu’il fera à la Chambre lors des interpellations sur l’Affaire, 333. — Séance de la Chambre du 25 octobre 1898, 334 ; sa déclaration lors de la démission de Chanoine, 337-338 ; sa chute, 340-341. Omet de faire prévenir Dreyfus de l’arrêt de la Cour de cassation, 372. — Injurié et menacé dans les listes rouges, 442-443. — Sa déclaration à la Chambre sur le dossier secret (séance du 19 décembre 1898), 466-467. — N’est pas entendu par la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 538. — Signe le manifeste des groupes républicains contre la loi de dessaisissement, 542. — Déclare qu’il ne sera pas candidat contre Loubet à la présidence de la République, 555. — Vote pour les poursuites contre Mercier et pour l’affichage de l’arrêt de la Cour de cassation, V, 134-135. — Refuse d’entrer dans le cabinet que Poincaré est chargé de former (juin 1899), 157, 191. — Vote l’ordre du jour de confiance au ministère Waldeck-Rousseau, 192-193. — Comment il apprend le verdict de Rennes, 536. — Presse Loubet de gracier Dreyfus, 563. — Son discours aux obsèques de Scheurer-Kestner, VI, 2. — Désigne André à Waldeck-Rousseau pour succéder à Galliffet, 121. — Mis en minorité dans le Xe arrondissement de Paris aux élections de 1902, élu à Marseille, 182. — Décline la mission de former un cabinet, 189 ; promet son concours à Jaurès en vue de la demande en revision du procès de Rennes, 217. — Incident entre Cavaignac et lui au cours de la séance du 6 avril 1903, 235-239. — Publie ses souvenirs sur l’Affaire, 278-279. — Doumer est élu contre lui président, de la Chambre, 423. — Réélu président de la Chambre, 445. — Préside la séance du 13 juillet 1906 ; ses interventions, 487, 489, 493.

Brochard. Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2.