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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/53

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INDEX GÉNÉRAL

fac-similé du bordereau, I, 391 ; II, 678.

Cavaignac (Godefroy), député. Sens qu’il attribue au mot « note » dans le bordereau, I, 291. — Se contredit au sujet de l’importance de la note sur les troupes de couverture, 321, note 1. — Reconnaît que la pièce « Canaille de D… » ne s’applique pas à Dreyfus, 357. — Reçoit le portefeuille de la Guerre dans le cabinet Bourgeois, II, 181, note 3. — Son discours au sujet de l’expédition de Madagascar, 193. — Se laisse dominer par Boisdeffre, 201, 202. — Son estime pour Picquart, 231 ; son rôle dans l’affaire Boulot, 235-236. — Dénonce le Syndicat, III, 32. — Son discours à la Chambre sur les aveux de Dreyfus (séance du 13 janvier 1898), 236-237 ; impression produite par ce discours, 283-284 : lettre que lui écrit Mme Dreyfus à ce sujet, 286, I, 630-631 : sa réponse, III, 286 ; nouvelle lettre de Mme Dreyfus, 287. — Gonse lui communique sa fausse lettre à Boisdeffre relatant les aveux, 289. — Demande à interpeller le Gouvernement, 290-291. — Son interpellation (séance du 22 janvier 1898), 303-305 ; Méline lui réplique, 306-307. — Critique l’attitude de Billot lors de l’interpellation Jaurès sur la conduite des généraux au procès Zola, 488-489. — Son mépris pour Esterhazy, 560-561. — Sa popularité et son rôle lors des élections de 1898, 580. — Son opinion sur la prétendue lettre de Combe au sujet de François Zola, 607, note 3 ; appendice, 650. — Prend le portefeuille de la Guerre en juin 1898, 632. — Sa présence au ministère rassure les nationalistes, 634. — Manifeste son intention de prendre connaissance du dossier Dreyfus, IV, 1. — Pressé par Monod et Gaston Paris d’entendre Picquart, 2. — Entreprend l’étude du dossier, 4. — Fonde sa conviction sur les prétendus aveux de Dreyfus, 5. — Son entretien avec Lebrun-Renaud, 6-7. — Interroge Bertillon au sujet du bordereau, 8. — Sa confiance en Roget, 8, note 3. — Conclut à la complicité de Dreyfus et d’Esterhazy, 9. — Veut poursuivre le Syndicat, 10. — Se décide à produire plusieurs pièces du dossier secret à la tribune, 11. — Consent à recevoir Tézenas, 12. — Circonvenu par Boisdeffre, 13. — Montre à Brisson et à Sarrien les pièces secrètes, 15-17. — Son discours du 7 juillet 1898, 20-26 ; II, 418, note 1 ; la Chambre en vote l’affichage, IV, 27. — Brisson lui transmet la lettre de Picquart dénonçant les faux du dossier secret, 35. — Se résoud à vérifier l’authenticité des pièces de ce dossier, 39. — Laisse Bertulus procéder contre Esterhazy, 40. — Porte plainte contre Picquart, 41. — Apprend l’arrestation d’Esterhazy, 45. — Oblige Fabre à incarcérer Picquart, 46. — Fait demander des explications à Bertulus, 47-48. — Aveuglé par sa croyance au Syndicat, 49-50. — Sa circulaire à la suite du discours du P. Didon à une distribution de prix présidée par Jamont, 52. — Acclamé à la revue du 14 juillet, 53. — Interroge Du Paty sur ses relations avec Esterhazy, 65-66. — Cache à Brisson les résultats de cet interrogatoire, 68-69. — Délègue Henry pour assister au dépouillement des papiers saisis chez Esterhazy, 72. — Croit Bertulus vendu au Syndicat, 79. — Son entretien avec Tézenas, 80. — Se dispose à étouffer l’affaire Esterhazy, 81. — Refuse à Du Paty l’autorisation de poursuivre Joseph Reinach, 88. — Sa tactique pour soustraire Du Paty et Esterhazy à la justice civile, 91-98. — Apprend les racontars de l’ancien planton Savignaud, 105 ; le fait interroger, 106. — Déçu par les résultats de l’instruction Fabre, 117. — Sa mentalité, 118 ; sa ligne de conduite dans l’Affaire, 119. — Se propose d’englober les revision-