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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/80

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

382-383 ; lettre qu’il écrit à sa femme la veille du procès, 383. — Sa comparution devant le Conseil de guerre, 388 ; le huis-clos, 399 ; son interrogatoire, 401 ; son attitude pendant les débats, 403-429. — Interrompt Henry lors de sa seconde déposition, 418 ; apostrophe Bertillon, 425 ; réquisitoire de Brisset, 431 ; il s’attend à être acquitté, 432 ; plaidoirie de Demange, 433 ; la communication secrète, 439 ; le verdict, 448-449. — Son désespoir : il veut se suicider, 454 ; lettres qu’il reçoit de sa femme, 456 ; il lui jure de vivre, 460. — Son pourvoi est rejeté, 478 ; son entrevue avec Du Paty au Cherche-Midi, promesse qu’il obtient de celui-ci, 481-484 : sa lettre à Mercier pour l’engager à rechercher le vrai coupable, 486 ; sa première entrevue avec sa femme, 488. — Les journaux réclament son exécution, 490-492. — Il est remis à Lebrun-Renaud pour la parade, 494 ; sa conversation avec Lebrun-Renaud, 496 ; la parade d’exécution, 499 ; il proteste de son innocence, 501 ; manifestations hostiles de la foule, 504. — Amené au Dépôt, il y est fouillé, photographié et mensuré, 505-506. — Transféré à la Santé ; son attitude ; ses lettres à sa femme, 562. — Envoyé à La Rochelle dans la nuit qui suit l’élection de Félix Faure, 565 ; scènes de sauvagerie auxquelles son arrivée donne lieu, 566 ; régime auquel il est soumis à Saint-Martin-de-Ré, 567-571 ; dernières entrevues avec sa femme, 571-573 ; son embarquement pour les îles du Salut, 574 ; traversée à bord du Saint-Nazaire, II, 120. — Son arrivée au bagne de l’île Royale, 122 ; l’île du Diable, 127 ; sa case, son régime, ses souffrances, 128-131 ; sa volonté de vivre, 132. — Il commence son Journal, 133-136 ; ses lettres : conseils à sa femme pour l’éducation de ses enfants, 137-140 ; son attitude à l’égard des gardiens, 141-143 ; sa lettre à Félix Faure (avril 1895), 144 ; sa détresse morale, ses angoisses, 145 ; nouvelle lettre à Félix Faure (octobre 1895) : réponse qu’il reçoit, 148-149. — Comment il organise sa vie, 149 ; ses lectures et ses notes, 150-151 ; sa philosophie, 155 ; études d’histoire militaire, 159. — Son affaiblissement physique : fièvres et syncopes, 161 : lettre qu’il écrit à sa femme pour lui conseiller une démarche auprès du Président de la République et des ministres, 198. — Le bruit court qu’il s’est évadé, 306 ; démenti officiel, 307. — Nouvelles lettres à sa femme, 311-315. — Il est mis aux fers ; la « double boucle », 315-316. — Il termine son Journal par une lettre à remettre au Président de la République au cas où il succomberait au bagne, 318-319 ; le supplice des fers est renouvelé pendant quarante-quatre nuits, 319-320 ; la « palissade », 321. — Bravard remplacé par Deniel, 322 ; le faux « Weyler », 323-326 ; la lettre à l’encre sympathique, 386 ; redoublement de précautions à son égard ; nouvelles mesures de rigueur, 455-456 ; alerte causée à l’île du Diable par une goélette égarée, 531-532 ; transféré dans une nouvelle case, 533 ; rigueurs et vexations auxquelles Deniel le soumet, 534-585 : sa maladie en décembre 1897, III, 336. — Nouvelles suppliques à Félix Faure, 337 ; propos d’un de ses gardiens : « Il y a un homme qui s’occupe de vous », 338. — Sa pétition aux Chambres (février 1898) ; elle est confisquée par Méline, 538-539 ; sa lettre au gouverneur de la Guyane, IV, 294. — Son courrier est intercepté à l’époque du procès Zola, 294-295. — Son désespoir ; il cesse d’écrire, 296. — La demande en revision du procès de 1894 est transmise à la Cour de cassation (Conseil de cabinet du 26 sep-