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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/87

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INDEX GÉNÉRAL

suites contre l’auteur de la divulgation de l’acte d’accusation rédigé par D’Ormescheville, 161. — Son opinion sur le renvoi d’Esterhazy devant un Conseil de guerre, 192, note 1. — Somme Billot de frapper Picquart et Joseph Reinach après l’acquittement d’Esterhazy, 219. — Son attitude lors de la publication des lettres de Dreyfus, 252. — Applaudit aux désordres antisémites en Algérie, 282. — Ses attaques contre le Gouvernement à la suite de l’ordre de Billot enjoignant aux officiers de se rendre à la citation de Zola, 322 et note 4, 365. — Fait afficher un placard comminatoire à la veille du procès Zola, 385 ; ses manœuvres pour intimider les jurés, 384 ; falsifie pour ses lecteurs les comptes rendus des débats, 403. — Jugement porté par lui sur Crépieux-Jamin et Teyssonnières, 413. — Demande et obtient la révocation de Leblois, 492. — Son duel avec Clemenceau, 512. — Se porte candidat à Alger aux élections législatives de 1898, 578 : émeute provoquée par sa candidature, 539-540. — Injurie les magistrats de la Cour de cassation, 554. — Reproduit les propos de Bismarck au sujet de l’Affaire, 566. — Élu député, 587 ; contribue à la chute de Méline, 630. — Accueille avec joie l’entrée de Cavaignac au ministère, 634. — Défend Du Paty contre les attaques des revisionnistes, IV, 87-88. — Obtient le remplacement de Lépine au gouvernement général de l’Algérie, 128. — Fait avec Rochefort et Arthur Meyer une pension à Esterhazy, 165. — Ses menaces à l’adresse de Cavaignac, lorsqu’Esterhazy est déféré à un Conseil d’enquête, 167-169 ; adjure Tézenas de venir défendre Esterhazy devant le Conseil, 178. — Abandonne Henry après les aveux, 209 ; commente son suicide, 224, 233. — Son opinion sur Zurlinden, 249, note 2. — Sa campagne acharnée contre les revisionnistes, 274, 276 ; annonce que des poursuites vont être engagées contre Picquart à la requête de Chanoine, 283. — Réclame la convocation immédiate des Chambres à la suite d’un manifeste du duc d’Orléans, 307. — Ses attaques contre Ribot lors de la chute du ministère Brisson, 352. — Sympathie qu’il témoigne à Lebret, 355. — Demande le dessaisissement de la Chambre criminelle en faveur des Chambres réunies, 358, note 2 ; campagne d’injures qu’il poursuit contre Lœw, 373 ; contre les présidents des groupes républicains du Sénat, 400 ; contre les conseillers de la Chambre criminelle, 424. — Ouvre une souscription pour couvrir les frais du procès intenté à Joseph Reinach par Mme Henry, 439 ; les listes rouges, 440-443. — Qualifie de faux les lettres d’Esterhazy saisies chez Callé, 450. — Nie avoir révélé l’arrestation et le nom de Dreyfus, 462. — Déjeune chez Deschanel, 463. — Ses attaques contre Lebret et Dupuy à la suite de l’incident Bard-Picquart, 486-487. — Refuse de s’expliquer sur les prétendues lettres de l’empereur d’Allemagne, 513. — Envoie Gaston Méry à Esterhazy (janvier 1898), 520. — Articles lors du procès Mme Henry-Joseph Reinach, 526-528. — Commente en termes injurieux la troisième enquête de la Chambre criminelle, 535. — Émet l’hypothèse de l’empoisonnement de Félix Faure, 553. — Se prononce pour la candidature de Méline à la présidence de la République, 555 ; son intervention à l’Assemblée nationale, 565. — Ses efforts pour justifier la conduite d’Esterhazy après la déposition de celui-ci devant la Chambre criminelle, V, 28-31. — Article contre Georges Duruy, 80. — Déplore la faiblesse des généraux, 110. — Reproche au prince d’Arenberg et au comte d’Alsace leur protestation contre les scandales d’Auteuil, 118. — Invite « le peuple »