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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Hanotaux de la protestation du gouvernement allemand, 525. — Nouvelles difficultés ; article de Clisson dans le Figaro sur les propos de Lebrun-Renaud, 533. — Rédige avec Mercier une note démentant cet article, 536. — Fait accepter par Munster une note mettant hors de cause les ambassades étrangères, 543. — La prétendue « nuit tragique », 545-546. — Sa démission, 557. — Mis en cause par l’interpellation Castelin (séance du 18 novembre 1896) ; sa réplique, II, 449-450. — Son attitude lors du discours de Cavaignac sur les aveux (séance du 13 janvier 1898), III, 237 et note 2, 238. — Mis par Mercier au courant de la communication secrète ; se tait lors du discours de Jaurès sur l’illégalité du verdict de 1894 (séance du 24 janvier 1898), 313. — Nouveau discours de Cavaignac sur les aveux (séance du 7 juillet 1898), IV, 26. — Chargé par Félix Faure de constituer un cabinet après la chute de Brisson, 351 ; ses négociations, 351-354. — Le nouveau ministère, 355-356. — La déclaration ministérielle ; le « fusil » (séance du 4 novembre 1898), 356-358. — Déclare qu’il combattra les propositions tendant à dessaisir la Chambre criminelle, 358. — Refuse de faire connaître à Dreyfus l’arrêt de la Cour de cassation ; la Cour ordonne que Dreyfus soit averti et invité à préparer sa défense, 372-373. — Sollicité par les groupes républicains du Sénat d’ajourner le procès Picquart, 400. — Interpellations Bos et Massabuau à la Chambre (séance du 28 novembre 1898), 400-401. — Mis en cause par Poincaré, 403-404. — Son discours ; vote de l’ordre du jour de confiance, 403-404. — Questionné par Monis au Sénat au sujet du procès Picquart (séance du 29 novembre 1898), 407-408. — Son attitude pendant les débats sur la liberté de l’enseignement, 419. — Fait poursuivre Urbain Gohier pour son livre : l’Armée contre la Nation questionné par Fournière au sujet de cette mesure, 424 et note 4, 425. — Fait exclure Zola de l’amnistie votée par la Chambre (séance du 21 novembre 1898), 428. — Ses déclarations à Lœw au sujet du procès Dreyfus : la « mystification de 1894 », 452-453. — fait ajourner l’interpellation Lasies sur la communication du dossier secret à la Chambre criminelle (séance du 18 novembre 1898), 459. — Son attitude pendant cette interpellation (séance du 16 décembre 1898), 463-467. — Son discours contre l’antisémitisme (23 décembre 1898) ; attaques de Drumont contre lui, 486-487. — Interpellation à la Chambre sur la démission de Quesnay, 494-497. — Refuse d’autoriser l’impression des procès-verbaux de l’enquête de la Chambre criminelle, 524. — Fait voter le projet de dessaisissement par le Conseil des ministres (27 janvier 1899), 529-531. — Le projet à la Chambre : supplément d’enquête exigé par la commission, 531-534. — Dépose une demande en autorisation de poursuites contre Millevoye, 542. — Adoption du projet de dessaisissement par la Chambre (séance du 18 février 1899), 544-545. — Mort de Félix Faure ; il refuse de se porter candidat à la présidence de la République et obtient cependant quelques voix à l’Assemblée nationale, 566. — Manifestations au retour de Loubet à Paris, 566-568. — Averti des projets de Déroulède pour le jour des obsèques de Félix Faure, 569-570. — Offre à Loubet la démission du cabinet ; refus de Loubet, 570. — Accorde à la Ligue des Patriotes une place dans le cortège officiel aux obsèques de Félix Faure, 577-578 ; revient sur cette autorisation,