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Page:Journal asiatique, série 1, tome 2.djvu/150

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( ’50 ),

terminaison qu’on peut* regai*der comme ’identiqae avec aous. Au contraire j’ai des doutes sur le mot kshéhioh, roi, (qu’il faudrait écrire qsdhioh ) , parce que legénitii qsakiohaha est tout-à-fait barbare. Je ne me rappelle point avoir vu aucun mot en io. D’après les règles d’euphonie de la langue^ cela devrait «se changer enyo, et tous les masculins en^o prenant «a cas possessif j^e/ie^ ce qui me semble trop éloigné de la forme lohaha. En général^ dans le zend> les inllexions ne s’ajoutent pas ainsi aux nominatifs^ comme les postpositions du hongrois ; elles prennent la place de la terminaison des nominatiis, comme en grec et en latin , où ^ de xupco ; et de dominus , on forme xvpcou et doniini, et non pas xvpcôaou et daminun. Voilà ce que j’avais à dire de l’écriture cunéiforme.

LE SERPENT ET LES GRENOUILLES,

Fabie traduite de Vhitopadésa ; par M. Bun^OUF fils.

Dans un jardin abandonné vivait un serpent nommé Mandauisaifa. Épuisé par Tâge et trop faible pour chercher sa nourriture^ il se laissa un jour tomber au bord d’un marais. Une grenouille l’aperçut de loin, et s’approchant de lui, qui te fait, lui dit-elle, oublier le soin de te nourrir ? Laisse^moi , réplique le serpent, à quoi bon perdre ton tems à interroger un malheureux ? La grenouille, à ces mots^ ressentit uoti