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Page:Journal asiatique, série 9, tome 5-6.djvu/166

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JANVIER-FÉVRIER 1895.

இதற்கு Châhid Qâderçâ‘hibmarécar கமணா் Tambikaṇḍu-marécar, A‘hmed-marécar lebbé தம்பி

கையொப்பம் Qâzî யாா் A‘hmed-kaṇḍu-lebbé ‘Hatib Allah-fijî-lebbé.

Ce qu’on peut traduire :

« Le 27 du mois d’Âvaṇi de l’année Krôdhi qui correspond au 2 du mois de Rabi‘-ul-âkhir de l’an 1247 de l’hégire [9 septembre 1831] ;

« Entendant dire les conventions, le kaîkûli, le strîdhanam des parents, dans le but de conclure le mariage de Ibrahimnâtchiyâḷi, fille de Sinnatambimarécar, avec Qâderkaṇḍumarécar, fils de ‘Abdelqàdermarécar,

« Le père de la fille a dit que le kaîkûli est de 71 pagodes [621 fr. 25], le strîdhanam de 101 [883 fr. 76], plus une maison confrontant à l’ouest à la maison de ‘Hasanmarécar, au sud à la limite de la maison de Çâ‘hibmarécar, à l’est à la rue de la maison de Mâmâtambimarécar, au nord au jardin de ‘Alimarécar ; dans ces quatre limites les troncs, branches, jardin potager, et dans la maison, la moitié du mobilier et tout ce qui s’y rapporte, constituent le strîdhanam.

« Et le fiancé a accepté en disant : C’est juste !

« Puis les 71 pagodes du kaïkûli ayant été données au fiancé et les cent pièces d’or fin de la dot ayant été déposées, le mariage a été conclu.

« À ceci

« Le fiancé et le père de la fille, après avoir entendu la lecture,

« Ont signé avec nous qui sommes les Qâzî et ‘Hatib.

« À ceci étaient témoins Qâderçâ‘hibmarécar et Tambikaṇḍumarécar, frère de Lebbé.

« Signé : le Qâzî A‘hmed-kaṇḍu-lebbé, le ‘Hatib Allah-fiji-lebbé. »