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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/116

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VI

Aux bruits s’étoilant en fusées de murmures
Aux passants des ramures
Écoute — et laisse aller le rêve au bois
Et flotter se dispersant — plus aux abois

Et vers l’ample blancheur mène tes incertains
Et tristes pas. — Laisse vers les matins
S’imposer la trêve obscure du loisir —

Et va, je suis le peu qui fatigue à dormir.