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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/224

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et les mages l’irréductible ballet de vos jouvences —
Pourquoi nocturnes vos cheveux sur le front, jadis éventails des midis

Ah voici le regret des midis et des soirs frais —
Te souviens-tu, les nuits lactées sur l’eau du fleuve —
les lampes du hall en fête tremblent comme des veuves —
Ah voici les mineurs des musiques de fêtes —
magies et magiciennes, âme du mage — ancienne journée.