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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/88

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Parterre des fleurs larges aux subtils poisons
Où s’engouffrent des vols d’instincts aux pâmoisons,
Les essaims vont dormant sous les arbres de rêve.

Les hantantes liqueurs
Des philtres de ces cœurs !
Miroirs, perpétuez vos infinis convexes.