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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/91

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III

Les rondes, les raisins, les roses !
Les curieux sont venus aussi
Pour se trouver si bien ici,
Les rondes, les raisins, les roses.

La cité d’or et de lointains
Si fabuleuse d’astrologues
De médailles et d’analogues,
La cité d’or des temps éteints…

Et puis se soucier des choses
Des lointains, des teints, des pantins !


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