Aller au contenu

Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/95

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Les chars sont demeurés dans le fixe appareil
Et dorment les Jasons aux blanches floraisons
Des illusions aux rais de soleil.

Et l’ombre épaissira ta nuit continuée,
Regard, clarté, frisson, disparaissez au voile,
Ah ! sont clos les volets de la défunte étoile,
Laisse flotter l’oubli et l’opaque nuée.