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voyée à l’attaque de l’ouvrage ; à cinq cents mètres de l’escarpe, des rangées de cadavres semés dans le gaolian indiquaient l’endroit où elle s’était fait détruire.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/63/Kann_-_Journal_d%27un_correspondant_de_guerre_en_Extr%C3%AAme-Orient_-_p310.jpg/400px-Kann_-_Journal_d%27un_correspondant_de_guerre_en_Extr%C3%AAme-Orient_-_p310.jpg)
La redoute était d’ailleurs un véritable ouvrage de fortification permanente ; elle avait été construite depuis longtemps, l’herbe couvrait les parapets et dissimulait les fils de fer et les trous de loup. On peut voir sur le plan ci-dessus à quel point on avait