Aller au contenu

Page:L’Écho foutromane, 1880.djvu/39

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 29 —


sa main gauche autour des reins de sa chère lionne enfin apprivoisée, de la droite empoigne son gros vit, et le pointe tout au bord du plus joli des cons.

Elle avoit prodigieusement écarté les cuisses, et néanmoins le membre de l’abbé trouve une certaine résistance à pénétrer en avant du vagin.

— Ah ! s’écrioit-elle, lors de l’introduction, tu me déchires, cruel abbé ! comme tu l’as gros ! faut-il qu’une femme délicate fasse ton bonheur au prix des souffrances que tu lui causes ; mais arrête donc, tu me tues… ah ! non, plutôt je consens à mourir ; hâte-toi vite !… enfonce… pousse… ah ! je n’en puis plus… Je me fonds, je… je décharge…

En achevant ces mots elle alloit tomber en pâmoison, lorsque tout à coup on ouvre la porte ; c’étoit Conine qui venoit rendre compte de sa mission, et dire à monsieur l’abbé que sa lettre avoit été portée à la boîte. Quelle fut sa surprise de les voir tous les deux aux pieds du lit dans l’attitude la moins équivoque de deux amans qui goûtoient la plus haute jouissance où les mortels puissent atteindre ; qu’elle eût voulu partager leur situation et leur bonheur !…

Hélas, ce bonheur est si naturel à toutes les créatures, que le même instinct avoit dans le même