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Page:L’École des biches, 1863.djvu/238

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QUINZIÈME ENTRETIEN


avec cela nous avons de la bonne volonté, je réponds du succès » Là-dessus, me prenant les mains, qu’il baisait, il me demanda de nouveau si je désirais sérieusement entrer au théâtre. Sur ma réponse affirmative, il me demanda mon nom et mon adresse. Je lui dis que je demeurais chez ma tante et que je dépendais d’elle ; que je pensais qu’elle ne s’opposerait pas à ce projet ; qu’elle en serait plutôt contente, surtout quand on lui parlerait de la certitude de ma réussite. Il me promit donc de venir voir ma tante le lundi suivant, et de prendre avec elle des arrangements.

Cette fois, avant de remettre mon masque, je lui permis un baiser sur le front, puis, nous étant rajustées, nous lui serrâmes la main en lui disant adieu, et retournâmes rejoindre Charles, qui était inquiet de ne pas nous voir.

marie.

Soyez donc complaisant ! Menez donc vos maîtresses au bal !

louisa.

Pouvais-je refuser de telles offres ! Tiens, ce