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Page:L’École des biches, 1863.djvu/253

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L’ÉCOLE DES BICHES

louisa.

Elle me dit que si tu étais bien gentil, tu nous conduirais chez toi ; tandis que nous essaierions le costume ; tu irais faire un tour à ton club ; que tu reviendrais au bout d’une heure, et qu’alors tu me trouverais tout habillée. Consens, et tu n’auras pas à t’en repentir, je te le promets.

marie.

Vous le voulez bien, n’est-ce pas ?

martin.

Puisque vous le voulez toutes les deux, il le faut bien, mais vous conviendrez qu’il est un peu dur de me forcer à quitter ainsi deux jolies femmes.

louisa.

Mais puisqu’on ne te demande qu’une heure… à peine le temps d’essayer le costume.

martin.

Le costume !… le costume !… Alors préparez-vous ; je vais régler la carte. (Il sort.)