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Page:L’Érotin - L’Amour paillard, 1941.djvu/117

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les membres. Les quatre paires de jambes gigotaient à qui mieux mieux ; la queue de Jacques ne le cédait en rien à la fermeté des godemichés ; elle manœuvrait, sans faiblesse, sans arrêt, luttant bravement, vigoureusement ; elle perforait sans pitié les fesses de la belle Horacine, qui s’époumonait à se maintenir en équilibre, entre l’enculage dont elle était l’objet et le coup qu’elle tirait à Thérèse.

Les ventres se heurtaient aux culs, et les têtes se cherchaient pour se pigeonner par-dessus les unes les autres. La Férina et Jacques formaient les extrémités du quatuor, l’une baisée par Thérèse, l’autre baisant Horacine. Un même souffle animait les jouteurs, faisant merveilleusement travailler celles qui, possédées, s’acharnaient à enfiler leurs compagnes ; Thérèse, le godemiché d’Horacine dans le con, enfonçait avec méthode le sien dans le vagin de La Férina, comme Horacine, enculée par Jacques, s’appliquait vis-à-vis d’elle à son rôle de baiseur.

Les femmes se montraient à la hauteur de leur mission de bonheur. Douce mission consistant à jouir et à faire jouir ! Le sperme gicla dans le cul d’Horacine, la cyprine suinta chez les trois femmes. On ne voulait pas ter-