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Page:L’Impôt sur les célibataires.djvu/19

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d’avantages — je le prouverai quand on voudra — et déjà je me voyais suspendu dans l’espace, ballotté par l’aquilon, planant enfin au-dessus de la marâtre nature ainsi qu’une malédiction, quand tout à coup ma vocation de plus en plus irrésistible pour le mariage, dominant toutes mes pensées, me fit rechercher une nouvelle beauté, qui consentît à devenir ma femme !

Cette fois, me rappelant la sagesse antique qui veut qu’on ait plus d’une corde à son arc, j’en courtisai trois en même temps. Sur trois, il m’en resterait bien une ! Eh bien, pas du tout ! Sur trois il ne me resta rien ! D’autres se seraient découragés — mais moi, je suis