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Page:L’Impôt sur les célibataires.djvu/49

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d’un fait, et par suite, des conséquences qu’entraîne ce fait, là où la volonté n’a point de part. Philosophes, penseurs, législateurs, jurisconsultes, criminalistes, tout le monde est d’accord là-dessus. Eh bien, à coup sûr, je n’en finirais pas, si j’essayais seulement d’énumérer la moitié des cas où le célibat est le résultat de circonstances impérieuses, d’une fatalité inexorable, non-seulement indépendantes de la volonté, mais encore positivement contraires aux libres déterminations de cette dernière faculté.

Mais il y a plus : il y a des cas où le célibat, quoique acte volontaire à tous points, mérite néanmoins l’estime et l’admiration des honnêtes gens, car il