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Page:La Belle libertine, 1793.djvu/15

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préliminaires qu’un homme délicat multiplie à l’infini, & préfère au moment du bonheur ; mais enfin, cette langueur délicieuſe qui ſuccède au délire ; où trouve-t-on tous ces avantages ? eſt-ce au village ? ſeroit-ce même auprès des bergères d’Idalie, qui n’ont jamais éxiſté que dans l’imagination des poëtes ? non, ce n’eſt qu’auprès de ces jolies coquines qui réuniſſent la fi-