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Page:La Belle libertine, 1793.djvu/167

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cours d’anatomie, pouvois-je ne pas m’arrêter à des détails qui y étoient analogues ? j’avois palpé, ſenti, uſé beaucoup de v.ts ; celui de mon nouvel ami réuniſſoit tout ce que je déſirois : huit pouces étoient ſa longueur, je n’ai jamais aimé plus que cela : ſa grosseur renforcée dans la culaſſe, empliſſoit ma main à ſon milieu, ſa tête audacieuſement levée, étoit d’une couleur & d’un poli qui annonçoient la jeuneſſe & la ſanté ; ſes c...les remplies d’un ſperme abondant, promettoient ce qu’elles tenoient, des plaiſirs répétés : un poil noir ombrageoit cet arbre voluptueux : enfin c’étoit un v.t tel que Cléopâtre n’en eut jamais à ſa diſpoſition : il m’offroit ſes ſecours après une abstinence forcée de trois jours, jugez