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Page:La Fouchardière–Celval — Le Bouif Errant.djvu/117

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Le Bouif errant

passants, une sombre silhouette qui ressemblait au docteur Cagliari.

Aussi ne reprit-il son entrain que lorsqu’il fut installé dans un wagon de l’Orient-Express et sentit le train s’ébranler.

— Cagliari peut courir, pensa-t-il. Cette fois, s’il me retrouve, il sera fin. Je ne serai pas Falzar Ier, mais je suis, plus que jamais, le Bouif errant. C’est égal, lorsqu’Ugénie apprendra que j’ai été couronné roi et que je gouverne un royaume, je vois d’ici la tête qu’elle fera en songeant qu’en me laissant tomber elle a raté l’autobus.