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Page:La Fouchardière–Celval — Le Bouif Errant.djvu/264

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Le Bouif errant

Bicard ne perdit pas une seconde. Il franchit le cercle des curieux et s’échappa sans mot dire.

Sur le trottoir opposé, il s’arrêta, pour se rendre compte.

Empêtré dans sa lévite, le docteur se débattait contre les badauds.

Le Bouif leva au ciel des yeux qui imploraient une aide. Miraculeusement, son regard s’arrêta sur enseigne de la Firme Américaine.

Le Destin avait parlé. Le Bouif errant n’hésita plus.

— Adieu Paname ! fit-il.

Puis, poussant résolument la porte, il entra.

Fin