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Page:La France foutue, 1796.djvu/112

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NOTES.

(23) Si Thérèse… Marie-Thérèse, impératrice, reine de Hongrie. Voici un de ses épitaphes :

 Ci-gît l’appui des vertus et des lois,
L’exemple du courage et de la bienfaisance,
Thérèse dont le règne est l’école des rois,
Et la tombe un autel que l’univers encense.

(24) Si Catherine… Catherine était impératrice de toutes les Russies. Elle était en uniforme russe, bottée et montée en cavalier sur un cheval blanc : elle avait à son chapeau une branche de chêne, qu’elle portait, ainsi que tous ceux de son parti, lors de la révolution qui l’a élevée au trône impérial. Elle mourut le 17 novembre 1796. Elle disait : Ce que je ne puis renverser, je le déracine. C’est, en peu de mots, décrire son caractère.

(25) Je voudrais inventer ce moyen délectable. Qui rendrait le plaisir encor plus agréable… Xercès proposa une récompense à celui qui imaginerait une volupté nouvelle.

(26) De l’outrage secret qu’elle fait à vos feux… Le duc d’Orléans, non-seulement avait le desir de régner, mais trois autres choses le déterminèrent à se venger. La première, son amour pour la reine, qui le détestait ; la seconde, le refus que le roi lui fit de madame royale, pour l’un de ses fils ; la