Aller au contenu

Page:La Harpe - Abrégé de l’histoire générale des voyages, tome 14.djvu/65

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

l’empereur. Il mourut dans la disgrâce et le chagrin. On raconte qu’un jour il perça la foule, s’approcha du carrosse de Charles-Quint, et monta sur l’étrier de la portière. L’empereur demanda qui c’était. « C’est celui, dit Cortez, qui vous a donné plus de royaumes que vos pères ne vous ont laissé de villes. »