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Page:La Landelle - Le Dernier des flibustiers, Haton, 1884.djvu/319

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gesse et l’énergie, la volonté ferme et la persévérance sans lesquelles aucun établissement ne saurait être durable ni prospère ? Réparera-t-elle enfin les fautes innombrables du passé ?

Dieu nous garde de fléchir encore, d’être de nouveau tristement ingrats, et d’abandonner honteusement, comme nous avons tant à nous en repentir, les intéressantes et nombreuses populations indigènes qui, françaises de cœur, mettent tout leurs espoirs dans notre France occidentale dont la France Orientale devrait être la sœur bien aimée.


FIN.