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Page:La Matinée libertine ou les Momens bien employés, 1787.djvu/112

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La Comtesse après l’affaire.

Il faut que je ſois folle !

L’Abbé
Lui baiſant la croupe avec tranſport.

Dites juſte, compatiſſante.

La Comtesse.

Çà, mon cher Abbé, laiſſez-moi maintenant, & vous reviendrez demain.

L’Abbé.

Fort bien ; car je n’ai pas encor conté la moitié de mes hiſtoires.

La Comtesse.

C’eſt pour cela donc…

L’Abbé.

Et… puis-je me flatter de retrouver chez vous la même complaiſance ?

La Comtesse froidement.

Peut-être… ſi cela me paſſe encor

par