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Page:La Matinée libertine ou les Momens bien employés, 1787.djvu/72

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Cécile avec un peu d’embarras.

Cela chaſſe quand l’amorce du fuſil s’allume ſans que le coup parte…

La Comtesse.

Ah ! je t’entends… Mais. (Elle obſerve.) Cette idée n’eſt pas de toi,… ni de moi… Cécile ? Quelqu’un encor, je le vois bien, ſe mêle de t’inſtruire ?

Cécile très-confuſe.

Je vous jure que non, Madame.

La Comtesse.

Et tu rougis !

Cécile.

Par enfantillage, de me voir ſoupçonnée, apparemment.

La Comtesse.

A la bonne heure… Je voudrais,