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Page:La Messaline française (éd. 1789), 1789.djvu/13

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LA

MESSALINE FRANÇAISE.


Je vais enfin, mon ami, te faire connoître la source de cette fortune rapide et étonnante que tu n’as jamais pu concevoir. Je vais te dévoiler mes intrigues avec une femme altiere, aussi honteusement célébre par ses prostitutions que par ses horribles complots contre le peuple Français.

Ô Jule ! toi qui jadis fis mon bonheur, et qui m’as payé de la plus noire ingratitude, n’attends aucun ménagement de ma part ; les aveux que je vais faire ajouteront encore un fleuron à ta couronne adultère.

Mon ami, tu ne verras ici que les scènes les plus licencieuses, les tableaux