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Page:La Messaline française (éd. 1789), 1789.djvu/70

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D. Elle me fit des reproches de venir ainsi la surprendre. Je ne l’écoutai pas et je les joignis au lit.

Oh ! mon ami, quelle nuit ! Mais écoute. À peine fus-je couché, que la jeune fille voulut se retirer. Je l’en empêchai, et les couvris alternativement de baisers. La D. prit son parti. Son inflammable imagination fut bientôt échauffée. Elle ordonna à sa femme-de-chambre de rester ; elle se plaça entre nous deux, le dos tourné de mon côté ; et me présentant les fesses, elle s’enfila elle-même en levrette, pendant qu’Agathe (c’est son nom), lui chatouilloit le clit… et lui faisoit les florentines les plus lascives. La D. de son côte, passa une de ses mains dessous Agathe, et lui claquoit les fesses, pendant que de l’index de la main droite elle frottoit avec agilité sa jolie cellule