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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/114

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du mystère. Quelle volupté de flatter de la main ces reins souples et cambrés, cette croupe arrondie et divine, ces fesses émues et palpitantes que l’amour a sans doute pétries pour son usage ; de sentir leur doux frottement autour de ma dague animée et brûlante, de provoquer cependant, d’un doigt rapide et doux, ces amples libations dont cette adorable et intelligente demoiselle inondait ses cuisses, les miennes, le meuble et mon dard qu’une de ses mains cherchait à contenir avec soin dans le carquois