Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/119

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cette question ? Moi, qui croyais savoir que madame de Terville aimait éperduement, et depuis deux ans, Valsain ! Moi, qui me croyais tellement épris de madame d’Arbonne, qu’il devait m’être impossible de lui devenir infidèle ! Quoi ! Hier, madame de Terville… est-il bien vrai ? Aurait-elle rompu avec Valsain ? M’a-t-elle pris pour lui succéder, ou seulement pour le punir ? Quelle aventure ! Quelle nuit ! Et cette femme-de-chambre si svelte ?… » Et je m’interrogeais pour savoir si je ne rêvais pas.