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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/133

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qui continua de me plaisanter. Elle en rit avec moi autant qu’il le fallait pour me consoler, sans se dégrader à mes yeux, adressa à l’autre des propos tendres, à moi d’honnêtes et de décens ; elle badina et ne plaisanta point.

« Madame, dit Valsain, il a fini son rôle comme il l’avait commencé. » Elle répondit gravement : « J’étais certaine du succès de tous ceux qu’on confierait à monsieur. » Il lui raconta ce qui venait de se passer chez son mari, elle me regarda, m’approuva, et ne rit point.