Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/42

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si ce parti était une violence qu’elle se faisait, si c’était une résolution bien décidée, aux termes où nous en étions elle et moi, où si elle partageait le chagrin que j’avais de voir terminer ainsi une scène aussi agréablement commencée ; mais par un mutuel instinct, nos pas se ralentirent, et nous cheminions assez tristement, mécontens l’un de l’autre et de nous-mêmes. Nous ne savions ni à qui, ni à quoi nous en prendre. Nous n’étions, ni l’un ni l’autre, en droit de rien exiger, de rien demander : nous n’avions même