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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/92

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très-prompte ce que je voulais dire, et plus surprise que fâchée, elle reprit ; « Si vous me promettiez d’être sage… » Il faut l’avouer, je ne me sentais pas encore toute la ferveur, toute la dévotion qu’il fallait pour visiter les saints lieux ; mais j’avais beaucoup de curiosité : ce n’était plus madame de Terville que je désirais, c’était le cabinet.

Nous étions rentrés. Les lampes des escaliers et des corridors étaient éteintes ; nous errions dans un dédale. La maîtresse même du château en avait oublié les issues. En-